« La préparation idéale aux métiers des bibliothèques et de la documentation ».
Après une licence LEA Anglais-Japonais avec des enseignements en documentation, je me lance dans la grande aventure du master esDoc pour compléter ma formation. Séduite par sa polyvalence et la qualité souhaitée par les enseignants, je n’ai jamais regretté ce choix !
Pour moi, sa force est de partir des compétences plutôt que de viser un seul métier. Le master esDOC est complet, vous y découvrirez la richesse des différentes branches de la documentation, les aspects techniques comme les aspects plus « politiques » (tels la gestion d’une bibliothèque, de ses collections et de son personnel). L’équipe pédagogique se soucie d’adapter le contenu aux enjeux et problématiques actuels, sans oublier les applications sur le terrain grâce aux stages et projets (des vrais projets!) qui vous seront proposés.
Dans mon cas, je suis passée par la Bibliothèque Polonaise de Paris, l’INRA et l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique. Ces stages ont été déterminants pour moi car ils m’ont rapprochés du monde de la recherche que j’affectionne. Couplés avec ma connaissance du HTML/CSS, démarré pendant le master et approfondi par mes soins, c’est ce qui a fait la différence pour décrocher un emploi.
Aujourd’hui, je travaille à CentraleSupélec au sein de l’Université Paris-Saclay où j’occupe un poste d’ingénieure d’étude en documentation riche en missions et projets. Je continue de m’appuyer sur ce que j’ai appris pendant le Master esDOC, et je lui dois clairement cette réussite professionnelle.
« Le master donne un grand nombre de clés pour comprendre ces mouvements et en faire partie, chacun à son échelle ».
Après une licence professionnelle « Métiers des bibliothèques et de la documentation », l’envie qui me guidait était de pouvoir approfondir et développer mes compétences et de pouvoir me sentir sûre de mon expertise. Le master m’a permis d’acquérir ce que je cherchais et bien plus.
Les deux années du master esDOC m’ont permis de développer mes capacités à assumer différents projets de front tout en apprenant à décloisonner les pratiques. L’utilisation de nombreux outils numériques, en lien avec le traitement des données, a également répondu à mon appétence technique. L’enjeu est de dépasser ses limites tout en apprenant des autres grâce aux nombreux projets de groupe.
J’ai intégré directement après le master la Maison d’Izieu, mémorial des enfants juifs exterminés, où j’avais réalisé un stage. J’y occupe le double poste de chargée de communication et d’assistante documentaliste.
Les compétences réinvesties au quotidien sont nombreuses. Les plus précieuses sont l’approche critique et le questionnement des outils et des méthodes, la recherche de valorisation des contenus par des biais innovants, la réflexion permanente sur la mise à disposition des contenus adaptée pour les différents publics.
Tout est en perpétuel mouvement, rien n’est fixe. Le master donne un grand nombre de clés pour comprendre ces mouvements et en faire partie, chacun à son échelle.
« Le master dispense des enseignements en adéquation avec les évolutions du métier »
A la suite d’une licence professionnelle « Métiers des bibliothèques et de la Documentation » préparée en un an, je ne me sentais pas prête à occuper un poste en bibliothèque. J’ai donc poursuivi avec le master EsDOC afin d’acquérir les compétences qui me manquaient, et je n’ai pas regretté mon choix. Le master dispense des enseignements en adéquation avec les évolutions du métier et les cours transversaux avec d’autres spécialités (WebEdito…) permettent de s’orienter vers un large panel de débouchés. J’ai particulièrement apprécié la disponibilité de l’équipe pédagogique ainsi que les projets menés pour des partenaires locaux. En effet, ces mises en situation ont permis de me rassurer quant à mes capacités et à entrer plus sereinement dans le monde du travail. Les périodes de stage, proposées pour chaque année du master et pas uniquement en fin de parcours, sont également un atout. Pour ma part, le stage a été un véritable tremplin puisqu’il m’a permis, après un remplacement de quelques mois, de trouver rapidement un poste au sein d’un réseau de bibliothèques rurales en pleine évolution. A l’issue du master, j’ai également passé le concours d’assistant que j’ai obtenu sans préparation supplémentaire, le bagage fourni par la formation ayant suffi à le passer sereinement.
« Le master esDOC a l’avantage de proposer des enseignements à la fois variés et approfondis »
Après des études déjà orientées vers la documentation, j’ai poursuivi mon parcours universitaire avec le master professionnel esDOC, qui est venu parfaitement compléter mon cursus. Le master esDOC a l’avantage de proposer des enseignements à la fois variés et approfondis. Cela m’a permis de consolider mes compétences, de renforcer ma confiance et d’avoir un profil polyvalent pour exercer dans diverses structures. Ce que j’ai également apprécié, ce sont les dimensions complémentaires du master : le sens de la réflexion sur les pratiques et l’actualité de la profession que nous transmettent les enseignants ainsi que le côté professionnalisant du master. Les deux années du master sont, en effet, jalonnées de projets concrets facilement valorisables lors de la recherche d’emploi puisqu’il s’agit de mises en situation réelles qui nous apportent une véritable expérience, tout comme les stages de première et deuxième année. En plus d’être formateurs, ces derniers constituent une porte d’entrée pour l’emploi. C’est d’ailleurs à la suite de mon stage de deuxième année que j’ai obtenu mon premier poste en tant que chargée de veille dans un Cabinet de juristes pour une mission de veille sur les médias sociaux.
Après sept ans d’études en histoire médiévale et n’étant pas particulièrement attiré par le professorat, j’ai souhaité me réorienter vers le monde de la documentation et des bibliothèques. Je recherchais une formation professionnalisante visant l’acquisition de bases solides et une entrée rapide sur le marché du travail. La formation esDoc présentait à ce titre plusieurs avantages. Contrairement aux formations courtes préparant spécifiquement aux concours des bibliothèques dispensées dans d’autres universités, elle permettait d’embrasser, via notamment les nombreuses interventions de professionnels extérieurs, le large panel des métiers liés à la documentation et de ne se spécialiser que progressivement. Sa durée même de deux ans était le gage d’une formation, si ce n’est exhaustive, du moins permettant d’acquérir puis de développer et d’approfondir les compétences professionnelles nécessaires. Enfin, son fort ancrage dans les TIC garantissait la familiarisation avec des outils et des techniques devenus indispensables au sein de notre profession. Cerise sur le gâteau, les deux longs stages permettent aussi de développer l’embryon de notre réseau professionnel, nécessaire à une entrée réussie sur le marché du travail.
Après une Licence professionnelle Métiers des bibliothèques et de la documentation à l’Université de Limoges, j’ai souhaité poursuivre en master pour acquérir plus de compétences afin de me donner la chance d’évoluer dans ma carrière.
Dès lors que l’on souhaite une approche axée sur les bibliothèques et la documentation et non sur la librairie, l’édition ou les archives, les Masters professionnels sont peu nombreux. De fait, je n’ai pas hésité et j’ai seulement candidaté pour le Master CDA (actuellement esDOC) de l’Université de Poitiers : une formation équilibrée entre bibliothèque et documentation, des interventions de professionnels, une culture TIC, des mises en situation en partenariat avec des structures documentaires, le tout au sein d’une ville estudiantine accessible.
Ces deux années ont participé à mon épanouissement professionnel. J’ai envisagé mes projets et affiné ma vision du métier à travers les différents exercices requis et notamment à travers mon mémoire, travail au cours duquel j’ai interrogé les enjeux et difficultés liés à l’aménagement intérieur des bibliothèques municipales. Mais le master a aussi été une expérience personnelle riche qui m’a permis de rencontrer des étudiant(e)s aux horizons et objectifs différents.
Aujourd’hui j’ai franchi la première étape, je suis adjointe du patrimoine de 1ère classe en bibliothèque municipale mais je ne compte pas en rester là.
Actuellement documentaliste-terminologue au sein du réseau CANOPÉ (ancien CNDP-SCÉRÉN), je garde un très bon souvenir de mes deux années de Master qui se sont révélées intenses et fort enrichissantes.
De mon point de vue, ce Master constitue une très bonne base pour aborder le milieu de la documentation et des bibliothèques dans son ensemble : nous avons bénéficié d’un large panel d’enseignements, ce qui, outre une certaine connaissance des deux « mondes » et une heureuse ouverture d’esprit, nous a permis de disposer de plusieurs atouts non négligeables en ces temps de crise, entre autres l’adaptabilité.
A priori, après deux stages en médiathèque (École des Beaux-Arts de Poitiers, Médiathèque François Mitterrand de Poitiers), je me destinais à l’univers de la lecture publique, mais le marché de l’emploi m’a ouvert les portes de la documentation pédagogique et de ses nombreuses terminologies. Et si j’ai encore beaucoup de choses à apprendre sur le sujet, je peux toujours mobiliser nombre de mes acquis du Master pour en faire bénéficier mes collègues. Sans compter que notre profession a ses subtilités, et qu’il est vital pour avancer d’accepter la part de nouveauté et d’inconnu qu’elle comporte.
En résumé, je dirais que ce Master nous a permis de mettre le pied à l’étrier, et ce, quel que soit notre profil à notre entrée en M1, ce qui à mon avis est un point plutôt positif.
« Aujourd’hui je me dis que c’est grâce à ce master que j’ai pu avoir ce parcours »
Suite à ma licence d’Histoire et ne souhaitant pas être enseignante, je me suis mise à la recherche d’une formation dans un autre domaine et c’est comme ça que j’ai découvert le master Compétences Documentaires Avancées (aujourd’hui esDOC). C’est un bon master car il nous donne les bases du métier de documentaliste et de bibliothécaire, ce qui permet de s’adapter à des structures et environnements professionnels très variés. En effet, au cours de mon expérience professionnelle j’ai pu travailler dans des structures de natures très diverses : éducative (à l’ESEN), culturelle (au Musée National des Douanes), et dans le domaine de la santé (à la CNAMTS). Mais mon expérience la plus marquante est mon Volontariat International en Centrafrique. Je travaillais pour l’Ambassade de France en tant que documentaliste en étant détachée au Ministère de l’Education centrafricain avec pour mission le développement de la lecture et de la francophonie. Dans ce cadre-là j’ai pu mettre en place plusieurs projets avec différents partenaires : la création de quatre bibliothèques dans des écoles primaires de Bangui, la mise en place d’une association professionnelle et la création d’une formation universitaire en bibliothéconomie. Je travaillais également avec l’Alliance française de Bangui sur des événements ponctuels comme sur des activités quotidiennes. Aujourd’hui je me dis que c’est grâce à ce master que j’ai pu avoir ce parcours et découvrir autant de choses que ce soit d’un point de vue professionnel ou personnel.
Après une licence LLCE Anglais, option documentation, à l’université Bordeaux 3, j’ai fait partie de la première promotion du master Compétences documentaires avancées (aujourd’hui esDOC) en 2008-2010. Je m’orientais au départ vers la documentation d’entreprise avant de bifurquer vers le monde des bibliothèques. Les enseignements du master étant suffisamment ouverts, j’ai pu affiner mon projet et travailler dans plusieurs métiers de la documentation et des bibliothèques. A l’issue du master, j’ai immédiatement trouvé un poste de documentaliste à Bordeaux 3, avant d’obtenir le concours de BAS en 2011, lequel m’a amenée à travailler deux ans en BU. J’ai ensuite réussi le concours de bibliothécaire en 2013. Je serai, à compter d’avril 2014, Chargée de conquête et de fidélisation des publics à la Bpi à Paris. Si je n’avais pas préalablement suivi ce master et acquis des connaissances essentielles, notamment en catalogage et en bibliothéconomie, je ne pense pas que j’aurais réussi ces concours si vite. Il a été une excellente préparation, m’a ouvert plusieurs portes et permis d’acquérir une culture professionnelle, grâce aux stages et à la pratique concrète d’outils, et de commencer à nouer des contacts professionnels et des amitiés que je conserve encore aujourd’hui.
L’inscription au Master s’est faite naturellement après l’option « Documentation, bibliothèques, archives » suivie en licence à l’université de Poitiers. Les cours en commun avec d’autres spécialités, ceux dispensés par des professionnels, les projets dans des conditions réelles, les deux stages de 3 mois, le mémoire professionnel avec la responsabilité – et le plaisir – de choisir notre sujet, et pour finir, la place importante que tiennent les technologies de l’information et de la communication dans le programme, étaient autant d’éléments attrayants. C’était l’année de lancement de cette formation, et j’ai décidé de tenter l’aventure !
La confrontation au terrain m’a permis de mûrir mon projet : je partais avec l’idée de devenir enseignant-documentaliste et je me suis finalement tournée vers l’exercice du métier en bibliothèque municipale. En cela, mon stage de fin d’études à la bibliothèque publique de Toronto a été décisif.
Après l’obtention du Master, j’ai travaillé dans le milieu associatif pour coordonner la mise en place d’une manifestation littéraire, puis j’ai fait des remplacements en médiathèque. J’ai obtenu le concours de bibliothécaire territorial et suis aujourd’hui responsable d’une médiathèque de quartier.
Je garde un bon souvenir de ces deux années d’études denses. Outre la qualité de la formation, Poitiers est un bon endroit pour la vie étudiante.