Colloque international organisé sous la coordination de Nabila Oulebsir, Université de Poitiers, Criham (UR 15507), Marie Gaimard, École nationale supérieure d’architecture de Normandie, laboratoire Architecture, territoires, environnement (ATE, UR 7464) et Caroline Maniaque, École nationale supérieure d’architecture de Normandie, laboratoire Architecture, territoires, environnement (ATE, UR 7464), dans le cadre d’un cycle international consacré au thème du voyage des architectes en Méditerranée.

• 3 et 4 avril 2025

• Université de Poitiers, Hôtel Berthelot, salle Crozet
24 rue de la chaîne – bâtiment E13

L’après-midi du 3 avril est obligatoire pour les étudiants du Master 1 « Histoire de l’art, patrimoine et musées », dans le cadre du séminaire transversal Histoire et arts visuels.

La participation à ce colloque est proposée aux étudiants de Master 1 et 2 des parcours « Histoire de l’art, patrimoine et musées », « Mondes modernes et contemporains » et « Histoire publique et expertises scientifiques », dans le cadre de l’UE 3 – Journées du laboratoire Criham.

 

 

Présentation

Ce colloque s’inscrit dans le cadre d’un cycle international consacré au thème du voyage des architectes en Méditerranée, regroupant un consortium de plusieurs universités et écoles d’architecture européennes. Il prolonge quatre précédentes sessions programmées en 2023
et 2024 à Paris, Naples, Grenade et Pavie-Turin. Cette cinquième session organisée à l’université de Poitiers, en collaboration avec l’École nationale supérieure d’architecture de Normandie, est articulée autour du thème de l’exil des architectes dans le pourtour de la Méditerranée et au-delà, depuis le milieu du XVIIIe siècle jusqu’aux décennies récentes.
L’exil à l’époque contemporaine, traversée par de nombreux conflits et changements politiques, est riche de récits, bien documenté concernant la trajectoire contrainte des artistes, écrivains, cinéastes et intellectuels, mais il ne l’est que partiellement sur les architectes, alors que leur circulation migratoire entre continents s’est accentuée. L’exil pendant la période moderne reste également à explorer.

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