• Jeudi 25 janvier 2024 – 9h / 17h15

• Poitiers, Bibliothèque Universitaire Michel Foucault, espace Recherche Aliénor d’Aquitaine
8 rue René Descartes – Bât. E18 – niveau 5

• Entrée libre. Ouvert à toutes et tous, dans la limite des places disponibles
La participation à cette journée d’études est proposée aux étudiants de Master 1 et 2 des parcours « Histoire de l’art, patrimoine et musées », « Mondes modernes et contemporains » et « Histoire publique et expertises scientifiques », dans le cadre de l’UE 3 – Journées du laboratoire Criham.

Présentation

À l’occasion de l’inauguration de la BU rénovée sur le campus, le Criham propose, en partenariat avec le SCD et la commission de la recherche de SHA une rencontre interdisciplinaire de réflexion sur la lecture, ou plutôt les lectures. En effet, la diversité des pratiques de la lecture dépend d’un grand nombre de facteurs, à commencer par les supports, bien entendu, de la plaque de marbre à l’écran d’ordinateur. Mais pour bien comprendre cette multiplicité de mode de lecture, il importe de considérer avant tout des lecteurs et des lectrices. Qui sont-ils ? Pourquoi lisent-ils ? Comment lisent-ils ? Quand lisent-ils ? Comment s’approprient-ils leur lecture : distraction, connaissance, information, communication ?

Programme

Matinée

9h / 12h30

• 9h – Jean-François Rouet, CNRS
Qu’est-ce que savoir lire en 2024 ?

• 9h45 – Yannis Delmas, Criham
La lecture en flux tendu du web social

• 10h30 – Pause

• 10h45 – Andrzej Chankowski, HeRMA
Les inscriptions comme un moyen de communication dans le monde grec

• 11h30 – Nathan Réra, Criham
Les paradoxes de la lecture photographique : entre incertitude et vérité

Après-midi

14h / 17h15

• 14h – Matthieu Lee, Fédération Territoires
Lire la carte : de l’expression sensible de l’espace au graphisme

• 14h45 – Aude Nicolas, Criham
Lire les tableaux : le regard de l’historien de l’art

• 15h30 – Pause

• 15h45 – Jérôme Grévy, Criham
De l’oreille à l’œil : lire les textes des discours politiques

• 16h30 – Gilles Marmasse, MAPP
Paul Ricoeur et la question du texte