F.A.Q. : Questions fréquentes

En formation initiale, les droits d’inscription sont les mêmes pour la quasi-totalité des masters de France. En 2018-2019, ils s’élevaient à 243 €. À ceci s’ajoute la CVEC (90 €). Les boursiers et pupilles de la nation ne payent que la médecine préventive.

En reprise d’études, les cas sont nombreux, nous vous conseillons de contacter le service UP&Pro.

La plupart des étudiants sont en «formation initiale». Ils bénéficient alors du statut juridique d’étudiant, relèvent d’un régime de protection particulier et ne peuvent être alors demandeur d’emploi, donc ne peuvent être indemnisés à ce titre.

Tous les résidents français qui ont plus de 28 ans, ont arrêté leurs études ou sont demandeurs d’emploi relèvent en revanche de la «formation continue». Pendant la formation, ils ont le statut de «stagiaire de la formation continue». Ils peuvent avoir droit, pendant cette période, à un certain nombre d’indemnisations et d’aides financières. Pour plus de renseignements, contacter le service UP&Pro.

Les formations font appel à de nombreux intervenants extérieurs et il y a de nombreux candidats à l’entrée du master. Le jury n’admettra donc que des candidats ayant une très bonne maîtrise du français, à l’écrit comme à l’oral. Le niveau B2 est impératif et le niveau C1 fortement conseillé.

Les masters de l’Université de Poitiers, comme pour de nombreuses autres université, imposent d’avoir un niveau B2 en anglais en fin de master pour pouvoir le valider. Il est conseillé de disposer d’un bon niveau B1 avant d’entrer en première année.

Le concours se déroule en deux temps : une sélection sur dossier suivie d’une journée d’audition. L’audition comporte un écrit et un entretien avec un jury.

L’écrit sert principalement à évaluer la culture générale et la capacité de rédaction des candidats. Il est généralement d’une durée de deux heures. Les questions ont toujours un lien avec le web. La forme n’est pas imposée mais la plupart des étudiants choisissent la rédaction.

Voici quelques exemples de sujets :

• « L’idéal de gratuité associé au web est-il, selon vous, un moteur ou un frein pour le développement de services lucratifs (payants) ? »
• « Quelle est, selon vous, l’incidence d’Internet et du web sur les notions de vie privée et de vie publique des individus ? Quelles sont les conséquences individuelles et collectives ? »
• « La presse quotidienne d’information générale est aujourd’hui en difficulté. Le web offre-t-il des pistes pour l’avenir ? »
• « Selon certains observateurs, les publications d’informations sur le web changent radicalement la donne de la politique intérieure dans certains pays. Qu’en pensez vous ? Vous illustrerez votre propos. »

Les documents, ordinateurs, téléphones etc. ne sont pas autorisés.

L’oral est un entretien où le candidat présente son projet d’études, éventuellement son projet professionnel, ainsi que ses motivations. Il peut y avoir quelques questions de culture générale, éventuellement liées à la production écrite du candidat.

Une lettre de motivation doit montrer la motivation du candidat pour intégrer notre formation, bien entendu, mais surtout donner au jury des motifs pour retenir le candidat. Chaque étudiant est unique et nous souhaitons retenir des profils variés.

Si votre lettre se limite à une lettre-type, vous n’avez aucune chance d’être auditionné.

Il est préférable d’envoyer une lettre dactylographiée. Évitez également l’écriture manuscrite pour le dossier de candidature.

Le master web éditorial souhaite recruter des profils variés. Il n’y a donc pas d’exclusive sur cette base. Il est toutefois recommandé de faire montre de connaissances ou de compétences dans l’un des domaines principaux de la formation:

• rédaction, journalisme ou bonne pratique de l’écriture,
• numérique, technique web ou informatique,
• gestion de projet, organisation, gestion ou management,
• réflexion théorique ou solide culture générale.

Toutefois certains étudiants brillants ou particulièrement motivés sont recrutés en dehors de ces domaines de compétence. Chaque année le master web éditorial recrute quelques étudiants issus de licences professionnelles (qui, normalement, n’ont pas le droit de poursuivre leurs études).

Pour l’instant, non. Les cours ont lieu à Poitiers.

En M1 temps de cours est d’environ 23h par semaine, auquel il faut ajouter environ 13h de travail personnel. En M2 il faut ajouter environ une dizaine d’heure par semaine. Toutefois, ces temps sont très variables d’une personne à l’autre et d’une semaine à l’autre.

Les étudiants salariés en activité ont droit d’étaler chaque “année” de formation sur deux années universitaires. Il est donc possible de suivre l’intégralité du master en 2, 3 ou 4 ans. Les étudiants salariés admis directement en deuxième année peuvent également étaler cette deuxième “année” sur deux ans.

Les étudiants doivent tous, au minimum, faire un stage chaque année.

Il est également possible de faire la deuxième année en contrat de professionnalisation, en alternant des périodes en entreprise et en formation. Dans ce cas le volume des enseignements est modifié.

À partir de la rentrée 2022, la formation est ouverte à l’alternance sous la forme d’un contrat d’apprentissages ou de professionnalisation.

Le master web éditorial souhaite recruter des étudiants avec de profils variés. Cette diversité est utile pour le travail en groupe, notamment, ainsi que pour la richesse des échanges.

Le mieux est donc de choisir une licence qui vous convienne. Ayez aussi en perspective le risque que votre dossier ne soit pas admis pour l’entrée dans le master web éditorial. Dans la mesure du possible, nous préférons également des licences générales, qui donnent souvent plus d’ouverture sur le monde et de culture générale. Par ailleurs, notez que les licences professionnelles n’autorisent pas, normalement, la poursuite d’études et que de nombreuses licences pro. bloquent l’entrée en master de leur diplômés.

N’hésitez pas à vous inscrire à des UE libres ou a des parcours pré-professionnels en relation avec le numérique, la technologie, la rédaction, l’information-communication, les sciences politiques, les arts…

Par ailleurs, il est toujours bon d’étendre sa connaissance du web en participant à des blogs ou des webzines ou en créant des sites web.

Non, au contraire. Nos étudiants découvrent, au cours du premier semestre, des métiers dont ils n’imaginaient pas l’existence. Il est donc préférable de chercher un stage une fois ces découvertes faites, d’autant que nous recevons des offres de stage.