Art moderne : Urbanisme et architecture au XVIIe siècle en France

 

Marie-Luce Pujalte-Fraysse et Mélissa Jarrousse

JCOKVU58
24h CM

Marie-Luce Pujalte-Fraysse :

Siècle des rois bâtisseurs, le XVIIe siècle français témoigne de la nouvelle vitalité que les arts connaissent en France depuis la Renaissance. La monarchie s’illustre grâce à des lieux emblématiques tels que Versailles à la gloire du Roi soleil mais le paysage urbain est marqué aussi par les constructions des grands ministres et d’une bourgeoisie entreprenante. Un modèle architectural français se met en place, que l’Europe s’approprie dans les dernières décennies du siècle. Le cours vise donc à mettre en évidence l’évolution des styles et de la production architecturale dans le contexte politico-social et culturel du royaume. Les grandes figures artistiques telles que la célèbre dynastie des Mansart aideront à comprendre le renouveau du statut de l’architecte et des institutions.

Mélissa Jarrousse :

Le début du règne des Bourbons en France est aussi le siècle des rois bâtisseurs. De grandes commandes architecturales telles que les places royales marquent durablement le paysage urbain. En dehors du milieu urbain, les châteaux du XVIIe siècle témoignent aussi de la mise au point de l’architecture classique à la française dont le paroxysme est atteint à Versailles. Le cours se propose d’étudier ce moment-clé de l’architecture à la française de manière chronologique, à travers des réalisations emblématiques.

Art contemporain : Les artistes face aux désastres de la guerre

 

Nathan Réra

JCOKXJWA
24h CM

Ce cours a pour but d’analyser la manière dont les artistes (plasticiens, photographes, cinéastes…) ont représenté les violences de guerre et de masse de la période contemporaine (XXe-XXIe siècles). Dans une perspective à la fois historique, esthétique et éthique, on s’intéressera à la manière dont les technologies modernes et les savoir-faire meurtriers ont contribué au bouleversement des représentations visuelles ; on s’interrogera sur la supposée « irreprésentabilité » des génocides, et en particulier de la destruction des Juifs d’Europe ; on envisagera les limites des modes traditionnels de représentation dans l’appréhension du pire.

Informations complémentaires

Licence 2 – semestre 4 – UE2

48h CM – coefficient 2 – 6 ECTS

Évaluation de l’UE

Examen terminal

1 examen écrit (2h, Moderne), coefficient 0,5
1 examen écrit (2h, Contemporain), coefficient 0,5

Deuxième session (rattrapage)

1 examen écrit (2h, Moderne), coefficient 0,5
1 examen écrit (2h, Contemporain), coefficient 0,5


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